Il y a trop de violence.
Hier, j’ai demandé l’heure
À un homme de mauvaise humeur
Il me fit «Crétin ! Achètes-toi une montre»
« Il ne faut pas venir à ma rencontre »
Énervé, j’ai massacré ce type bourru
Le laissant pour mort étalé sur la rue
Ce matin j’étais de bonne condition
Souhaitant offrir à ma gonzesse galipette
Elle me dit «Je ne désire pas quéquette »
«Tu me prends-trop pour une soubrette »
Énervé, j’ai massacré cette bête
la laissant pour morte sur la couette
Ce soir, je commande une bière
À ce maudit barman efféminé
Il me fait avances, me présente son derrière
Il me fit «Fais-moi plaisir j’aime être dominé »
Énervé, j’ai massacré ce pédé
Le laissant pour mort sur le pavé.
Décidément, je trouve qu’il y a trop de violence.
En ce bas monde, trop de tension, de terreur
Et ces mouches qui continuent, par insolence
Quand j’écris, à se poser sur l’écran de mon ordinateur
Elles m’énervent…. Elles m’énervent…
C’est vrai ! Il y a trop de violence…
Loïc ROUSSELOT
Hier, j’ai demandé l’heure
À un homme de mauvaise humeur
Il me fit «Crétin ! Achètes-toi une montre»
« Il ne faut pas venir à ma rencontre »
Énervé, j’ai massacré ce type bourru
Le laissant pour mort étalé sur la rue
Ce matin j’étais de bonne condition
Souhaitant offrir à ma gonzesse galipette
Elle me dit «Je ne désire pas quéquette »
«Tu me prends-trop pour une soubrette »
Énervé, j’ai massacré cette bête
la laissant pour morte sur la couette
Ce soir, je commande une bière
À ce maudit barman efféminé
Il me fait avances, me présente son derrière
Il me fit «Fais-moi plaisir j’aime être dominé »
Énervé, j’ai massacré ce pédé
Le laissant pour mort sur le pavé.
Décidément, je trouve qu’il y a trop de violence.
En ce bas monde, trop de tension, de terreur
Et ces mouches qui continuent, par insolence
Quand j’écris, à se poser sur l’écran de mon ordinateur
Elles m’énervent…. Elles m’énervent…
C’est vrai ! Il y a trop de violence…
Loïc ROUSSELOT